Blog sur la nature et ses merveilles
Par Vérona
Quand j’avais le choix, je préférais, de loin, la côte en hiver, la pluie fine, le ciel gris, léger et dégradé confondu avec la mer bien avant l’horizon.
La mer comme un grand lavoir à cerveaux brassant et ressassant inlassablement dans un bruit de verre pilé toutes les pensées qu’on lui confie et qu’elle nous emporte, la mer comme un tambour lent de lessiveuse à idées noires, gris et plate vue de la côte jusqu’autour de la terre.
La Montée des eaux
[ Thomas B. Reverdy ]
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