• Le peuple de la mer

    Le peuple de la mer

    Dans cet article vous allez découvrir les élémentaux qui vivent et animent la mer et les fonds sous-marins.

    La mer avec ses nombreux oiseaux procure une impression de fort magnétisme, de sauvagerie même si on ne voit pas les formes qui sont décrites dans l'article qui va suivre, on peut aisément en éprouver la force.

    Les vagues qui déferlent sur les rochers, l'odeur des embruns, les mouettes qui crient leur joie .....

     

     

    Le peuple de la mer

    Loin en mer existent d'énormes monstres éthériques couleur vert de mer, qui ressemblent à des poissons, et cependant différent de tout poisson connu. Leurs formes sont transparentes comme du verre et illuminées d'une étrange lumière verte. Ils semblent se diriger en ligne droite et, bien qu'ils aient une tête et un corps, je ne puis discerner dans ces êtres aucune ressemblance avec la forme humaine. Ils n'ont pas de membres. La forme la plus dense se contracte jusqu'à devenir punctiforme, puis elle se dilate à l'intérieur de la matière plus fine de l'aura. Ils semblent s'élever lentement des profondeurs de la mer, quelquefois complétement hors de l'eau, parfois seulement partiellement.

    D'autres formes, plus aériennes et d'apparence humaine, cinglent au dessus de la surface de l'eau. Parmi elles se trouvent des plus petites fées de la mer qui chevauchent des vagues et font leur délices de la vitalité électrique qui accompagne la vitalité de la marée.

    Le peuple de la merContrastant avec elles, les énormes êtres des profondeurs de la mer sont excessivement lents et lourds de mouvement; ils regardent d'un air hébété autour d'eux, leur intelligence étant très limitée et obtuse. L'exultation et la joie des fées de la mer ressemblent presque à de la fureur, comme si elles incarnaient la puissance de la mer. Elles sont bien plus actives et énergiques que les fées de la terre. Les plus petites paraissent complétement concentrées sur leurs propres activités.

    A une grande distance, je vois un groupe de grands dévas de la mer. Chacun d'eux a une couronne sur sa tête. Ils sont des dirigeants de la mer, immenses, solennels et majestueux, qui évoquent un peu par leur apparence le dieu Neptune.

    Dans le bas-fonds de l'océan se trouvent des nymphes de la mer, qui ont la forme d'une femme d'une merveilleuse beauté. Elles ne sont pas ailées comme les fées de la terre. Elles vivent en colonie à la fois sous et sur la surface de la mer, qui est leur royaume. Chevauchant ses vagues et parfois plongeant dans ses profondeurs, elles vivent une joyeuse existence. Je les vois qui s'appellent les unes les autres avec de grosses voix et poussent des cris d'exaltation, car les forces vivantes qui entrent dans leur composition excitent en elles une joie presque inimaginable. Ces nymphes, aussi bien que les plus petites fées de la mer, sont bien plus intensément vivantes et mènent une vie bien plus pleine que leurs sœurs les fées de la terre.

    Le peuple de la merDans les ultimes profondeurs de la mer, je vois d'énormes formes éthériques filamenteuses, ressemblant à des végétaux , dépourvues ou presque de tout contact avec ce qui est leur monde extérieur, qui dérivent au gré des courants. Je peux suivre le développement graduel de ces formes, depuis la larve sombre et translucide à conscience fortement introvertie, jusqu'à la forme magnifiquement organisée de la nymphe et de la fée de la mer qui joue au milieu des lames. Ces dernières sont des entités  bien définies qui ont un corps permanent. Se déplaçant à la vitesse de la lumière, elles apparaissent un instant pendant lequel on a juste le temps d'apercevoir leur couleur et leur forme, puis elles repartent pour apparaître ailleurs.

    Les multitudes d'esprits de la nature que l'on voit au-dessus de et dans la mer différent entre eux surtout par leur taille. La plupart ont une forme humaine, bien qu'il y en ait d'autres qui ressemblent presque plus à des poissons; les variétés à forme humaine sont toutes asexuées, mais leur apparence générale sont féminines. Une caractéristique dominante aussi est la rapidité avec laquelle elles assument et quittent leur forme; très souvent, elles se changent en des éclairs de lumière brillants et relativement sans forme, puis reprennent la forme humaine qui paraît être leur forme naturelle.

     

    D'une façon générale, il semble que les plus grandes variétés, vivent au large, tandis que les moins grandes jouent près de la côte. A deux cent mètres de la côte. A deux cents mètres de la côte vivent des esprits de taille moyenne, une peu moins grands que des êtres humains. Un représentant de la plus grande variété vient de s'approcher à moins de quatre mètres de nous, et j'ai vu que plusieurs autres pénétraient à la vitesse de l'éclair dans l'intérieur des terres près de la côte, puis retournaient vers la mer.  Celui qui est venu près de nous était d'un blanc presque cadavérique; son corps luisait comme s'il était humide. Il était entièrement nu et sa forme étaient curieusement instable, de sorte que la différence entre sa forme dense (relativement) et ses émanations auriques disparaissait souvent.

    Le peuple de la merNombre d'entre eux paraissaient occuper tout leur temps à avancer rapidement au dessus de la surface de la mer; parfois, ils se plongent dans l'eau, les pieds les premiers, partiellement ou entièrement, parfois ils bondissent haut dans l'air à la vitesse de la Lumière. Ils exultent de joie tandis qu'ils se baignent dans le puissant magnétisme de la mer. Ils absorbent en eux un peu de cette puissance magnétique et, après un intervalle pendant lequel a lieu une sorte d'assimilation, ils la déchargent. Ils vivent d'une façon extrêmement intense, bien plus que cela nous est possible à nous qui vivons dans le monde physique dense, même pendant nos périodes de plus grande exaltation. Il semble qu'ils soient toujours en train d'absorber et de décharger de la force d'une façon ou d'une autre.

    J'ai pu apercevoir une fée de la mer quand, pendant une fraction de seconde, elle était relativement immobile, ce qui est très rare. Elle semblait pleinement chargée de force vitale, qui rayonnait à une distance considérablement plus grande que son émanation normale, disons à un mètre quatre vingt quatorze dans toutes les directions, et qui lui donnait l'apparence d'un être humain glorifié et rayonnant de bonheur; ses yeux brillaient et elle se tendait, bras étendus, dans une auréole de lumière blanche. Visiblement, cette fée jouissait à l'extrême de la sensation d'être chargée de vitalité à déborder; quand celle-ci fut déchargée, et le plaisir terminé, elle entreprit de recommencer le processus.

    Les plus petites variétés de fées de la mer ont quelques ressemblances avec les fées de la terre sauf qu'elles n'ont pas d'ailes et sont nues. Là aussi, il semble y avoir plus de différence dans les tailles, car les fées de la côte varient de vingt-quatre à soixante-cinq centimètres environ. Un contact avec elles éveille des sentiments très différents. La fée terrestre est tout à fait plaisante et amicale et ses vibrations sont harmonieuses pour l'être humain; au contraire, les fées de la mer ne sont pas, du moins en ce qui me concerne, d'une atteinte conscientielle aisée et leur taux de vibration ne s'harmonise pas volontiers avec le mien. Elles sont bien plus concentrées sur elles-mêmes et ne paraissent pas avoir, si elles en ont, beaucoup de communications entre elles. On entend de nombreux appels mais rien ne ressemble à une réponse; en fait, leur état d'activité constante et intense paraît les rendre irréceptives aux communications externes.(Cette conclusion n'est que relative, car il est évident qu'il existe un certain genre de conscience commune et de communications entre elles).  

    Le peuple de la merLes plus petites variétés ne s'élèvent pas aussi haut dans l'air que leurs sœurs plus grandes, mais leurs vols sont gracieux; elles s'élèvent rapidement à plus de dix ou douze mètres, plus souvent elles effleurent la surface de la mer ou chevauchent la crête des vagues. Celles qui vivent plus loin en mer s'élèvent à de grandes hauteurs , en fait au delà de l'atteinte de ma vision. 

    Extrait du livre "Les fées au travail et au jeu" de Geoffrey Hodson 

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