• La mer

    BWtwx24CYAEYWzI.jpg 

    Quand j’avais le choix, je préférais, de loin, la côte en hiver, la pluie fine, le ciel gris, léger et dégradé confondu avec la mer bien avant l’horizon.

    La mer comme un grand lavoir à cerveaux brassant et ressassant inlassablement dans un bruit de verre pilé toutes les pensées qu’on lui confie et qu’elle nous emporte, la mer comme un tambour lent de lessiveuse à idées noires, gris et plate vue de la côte jusqu’autour de la terre.

    La Montée des eaux
    [ Thomas B. Reverdy ]  

     
     
     
    « Le jardin en étéLe pouvoir guerisseur de l'eau »
    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    Tags Tags : ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :