• Ethel et Julius Rosenberg suite et fin

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    L'histoire d'Ethel et Julius Rosenberg se poursuit et les mauvaises actions du passé provoquent la tragédie de leur vie......

    La première image montre, au siècle dernier aux États Unis, une femme d'âge moyen avec des cheveux bruns, un teint jaunâtre et un regard fanatique. Elle n'était pas laide, mais il émanait de sa personne quelque chose de maladif. Elle s'appelait Miss Mary et dans sa maison se rassemblaient tous ceux, qui en ce temps-là, en voulait à la vie d'Abraham Lincoln, le président des États Unis. On peut dire avec une certitude absolue qu'elle fut l'instigatrice de l'assassinat du président. Elle trouva également une fin violente dans cette incarnation. Julius Rosenberg n'était pas incarné sur terre durant cette époque, mais il s'était rendu gravement coupable dans sa vie antérieure.

    Le second tableau présente Ethel Rosenberg au début du XVIIIème siècle en Espagne, à l'époque effroyable de l'inquisition. L'inquisition a commencé il y a environ mille ans lorsque, au cours d'un concile à Vérone, les évêques reçurent l'ordre de remettre à la justice tous les hérétiques. Peu après ce concile. furent créés des tribunaux spéciaux. D'abord en France puis en Italie et en Espagne, ensuite les persécutions des soi-disant hérétiques s'étendirent sur l'Europe entière. Mais dans aucun pays les activités de ces tribunaux n'ont été aussi néfastes qu'en Espagne, où elles se poursuivirent jusqu'au début du XVIIIème siècle. Au début ces tribunaux ne jugeaient et ne condamnaient que ceux qui ne voulaient pas se convertir au catholicisme. Plus tard, cependant, ces institutions représentèrent une arme politique puissante.

    Ethel, à cette époque, vivait en Espagne et appartenait à la famille Ximenes. Cette famille était en étroite relation avec le "Saint office". C'est ainsi, comble de l'ironie, qu'étaient nommés les tribunaux de l'inquisition en Espagne.

    Dans cette incarnation, Ethel s'appelait Théreza Venina et était mariée avec Malaquias, un riche commerçant. Théreza avait une relation complice avec le moine qui dirigeait le "saint office". Certaines personnes étaient convaincues qu'elles s'était rendue coupable de cruelles condamnations couvertes par le tribunal, que dirigeait ce même moine, lui aussi membres de la famille Ximenes. Avec l'influence qu'elle exerçait sur le moine, elle aurait pu empêcher beaucoup de condamnations qui reposaient sur des accusations en partie fausses, voire même ridicules. Mais elle ne fit rien pour atténuer la manière d'agir du moine. Au contraire, elle encourageait les mesures prises par le "Saint office" qu'elle considérait comme justes.

    Dans cette incarnation, Théreza Venina fit la connaissance d'un juif italien converti qui avait reçu à son baptême le nom de Justinius. Après sa conversion, Justinius devint un espion pour un groupe politique ainsi que pour l'église. Il se rendit en Espagne, en mission secrète, avec les recommandations de la famille Ximenes. Introduit dans cette famille, il fut présenté à Théreza Vénina. Tous deux eurent ensemble de nombreuses conversations et peu de temps après son arrivée, un important groupe d'hommes fut arrêté sous l'accusation de conspiration contre le roi.

    Justunius avait apporté une certaine information secrète visant une personnalité politique importante qui devait être écartée. Comme il n'était pas possible de juger cette personnalité, cet homme très connu, en raison de sa haute position sociale, fut arrêté en même temps qu'un important groupes d'hommes, de diverses tendances, sous l'accusation précédemment mentionnée de conspirer contre le roi. 

    Or le seul crime de ce haut personnage et de quelques autres prévenus consistait dans le fait de s'opposer aux commandements absurdes du "Saint office", et de vouloir ainsi détruire le pouvoir de l'institution ecclésiastique. Par l'intermédiaire de Justinius, le "Saint office" réussit à connaître ainsi les noms des proches de ce haut personnage qui, en Italie, poursuivait également le même but.

    Théreza Venina savaient parfaitement que certains prisonniers étaient complétement innocents de cette conspiration, mais elle se tut. Elle aurait pu sauver plus de la moitié des quelques trois cents personnes. Justinius, en ce temps là, était un instrument entre les mains de la classe dirigeante. Quand il retourna en Italie, il promit à Théreza Vénina, avec laquelle il entretenait des rapports amicaux, de toujours lui envoyer de là-bas les noms des conspirateurs importants.

    La vie de Théreza Vénina était à cette époque importante et apparemment heureuse. Elle ne voulait pas entendre la voix de sa conscience. Et, ironie du sort, deux de ses quatre fils devinrent des ennemis jurés de l'Inquisition, au point d'être obligé de fuir leur patrie et après bien des pérégrinations , s'établirent dans le sud des Etats Unis d'aujourd'hui.

    Justinius et Julius Rosenberg sont la même personne. Il a toujours été faible et facilement soumis à l'influence des plus forts, ce qui ne l'a pourtant pas libéré de sa faute. En raison de leur libre arbitre, les hommes ont commis en effet beaucoup, mais vraiment beaucoup d'injustices au cours de leurs vies terrestres passées. Mais aujourd'hui, à l'époque du jugement dernier, il doivent en supporter les conséquences.

     

    FIN

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